L'auteur, actif expérimenté depuis 1993 (surtout dans le management opérationnel, dans le marketing et dans la relation client, notamment en immobilier sur la Côte d'Azur, mais aussi dans les métiers de service et dans la sécurité), parallèlement à ses activités professionnelles s'intéresse à l'actualité, au web et à la culture générale. Les loisirs créatifs (écriture, dessin, photographie, etc.) font partie, depuis tout aussi longtemps, d'une polyvalence créative qui complète la polyvalence des métiers mentionnés, notamment au niveau du développement personnel et du savoir-être faisant partie de ses domaines d'expertise.

En tant que commercial de terrain aguerri, capable d'analyser les habitudes individuelles et collectives des consommateurs jusque dans leurs loisirs, Terence Den Hoed (dit D. H. T. pour son travail rédactionnel et graphique consultable en ligne et publié, ou Eric D. pour l'usage courant, le marketing relationnel et les publications professionnelles) sur le blog dht blog : D. H. T. Articles Musique (Nice) (vip-blog.com) a consacré des articles généraux à l'évolution de l'industrie musicale au tournant des années 2010, avec un regard qui apparaît de plus en plus comme critique et nostalgique. Le CD et l'album, plus que des supports et des formats, sont considérés, d'un point de vue consumériste, comme des symboles d'une qualité de vie supérieure à laquelle il faut souhaiter revenir, car leurs implications dépassent le seul cadre de l'écoute : pouvoir acheter des produits culturels tangibles contribue à renforcer la notion de propriété privée des aspects matériels de l'existence, au niveau le plus général et le plus accessible. Dans cette optique, la disruption consiste à porter un regard plutôt péjoratif, dans l'ensemble, sur le MP3 et sur le téléchargement (surtout le téléchargement illégal, et ce pour des raisons éthiques évidentes). La pratique de l'analyse qualitative des productions musicales populaires amène au constat d'un déclin, confirmant l'idée que les consommateurs ont été floués par une évolution qui aurait mieux fait d'imposer avec force un cadre juridique aux tenants des technologies numériques, dès les années 1990 voire plus tôt, ce qui aurait permis de sauver une industrie et d'en maintenir les exigences en termes de contenus respectueux des attentes du public. Ce parti pris veut également dire que l'ambition sous-jacente du propos consiste à porter au niveau mondial ce qui a caractérisé le luxe et l'hédonisme des cultures occidentales à un moment donné. L'intention, on le voit, va en effet plus loin que parler simplement de musique. Un positionnement fortement individualiste apparaît déjà ici.

Cette sémiologie des productions artistiques dans le cadre de pratiques de consommation a amené l'auteur à consacrer une partie importante de son temps libre à un travail graphique, ZSF9IKN92, invitant à une relecture de la bande dessinée selon une vision traditionnelle du média, au-delà de thèmes et d'apparences modernes partiellement inspirés du roman policier Mars Girl, écrit par le même auteur en 2004 et prépublié sur le web en 2005 avant d'avoir fait l'objet de publications depuis 2012 (d’autres publications ont suivi : 2.0, Last Falls, Posal, etc.). Ce roman, qui se présente à la fois comme une parodie et comme un hommage à l'industrie hollywoodienne, a donné lieu à cette adaptation à la fois iconoclaste et tournée vers le passé du langage des images, première forme d'écriture, qu'incarne ZSF9IKN92 en tant que bande dessinée mais aussi en tant que peinture, telle qu'on peut la voir sur le blog dht-bande-dessinee blog : D. H. T. Bande Dessinée (Nice) (vip-blog.com). Le même auteur en a assuré tous les aspects : découpage scénaristique et graphique, dessin, encrage et colorisation. Ce travail sur l'image a été complété par des analyses de scénarios posant des problèmes d'interprétation dans divers médias (cinéma, bande dessinée, jeu vidéo et série télévisée), que l'on peut lire sur le blog dht-lectures-scenarios blog : D. H. T. Lectures De Scénarios (Nice) (vip-blog.com). Ces contenus apparaissent comme autant de contributions à une volonté de mettre à profit le temps libre pour explorer l'importance de l'audiovisuel dans les cultures hautement technologiques, tout en revenant aux origines traditionnelles des moyens de production graphique et à la persistance de ces origines dans la conscience collective. L'individu s'affirme en s'appuyant sur la force des significations que les civilisations donnent à lire ou à déchiffrer dans leurs soubassements, du point de vue non tant d'une codification que d'une attention descriptive accordée aux relations de sens potentiellement perceptibles dans les manifestations visuelles de la culture. On peut parler de publicité profonde, celle qui vend la narrativité autour de laquelle les signes continuent à se déployer, malgré les doutes légitimes suscités par la mouvance postmoderne quant à l'idée de progrès global.

L'approche photographique classique et patrimoniale du blog dht-voyages blog : D. H. T. Photos Voyages (Nice) (vip-blog.com), dans une prise de distance par rapport aux esthétiques du second vingtième siècle et du premier vingt-et-unième siècle, met le sujet en valeur (paysages, monuments de différents pays et sites touristiques) au point où le regard du photographe se fond complètement dans cette démarche de dévouement, ce qui traduit, par l'image et une fois rapporté à la perspective des êtres vivants (outre les habitudes de travail du commercial en immobilier occasionnellement guide local), une notion de développement personnel davantage attachée aux particularités empiriques des individus tels que perçus à la fois dans leur histoire et dans le dynamisme de leur progression (via l'expertise de la relation client), plutôt qu'aux méthodes préconçues et aux grilles de lecture, auxquelles on préfèrera toujours l'information donnée par le biais de ce qui, dans le monde extérieur, suscite l'intérêt. La principale différence réside dans le caractère plus permanent des paysages et des monuments, alors que le sujet psychologique peut appeler, en certaines occurrences, un regard plus mobile. Toutefois, à l'exception notable des autoportraits, ce n'est pas via le portrait photographique que l'auteur cherche alors à établir un terrain propre à rendre justice aux individus dans leur développement personnel, s'interdisant pour ce faire toute intrusion par respect pour la vie privée en général (ce qui invite à une autre approche des métiers du marketing que celle qui consiste à vouloir pister les prospects et clients). Le développement personnel, dans le contexte présentement décrit, s'appuie à la fois sur une solide expérience commerciale, sur des projets développés pendant le temps libre comme on l'a déjà dit, et sur des lectures notamment psychologiques, donnant lieu par exemple à la critique de l'ouvrage Système 1 / Système 2 de Daniel Kahneman sur le blog dht-analyses-critiques blog : D. H. T. Analyses Critiques (Nice) (vip-blog.com). La doctrine / anti-doctrine de l'individualisme atomiste promu par l'auteur fait un pas en avant grâce à un examen prudent des différents angles que l'émergence et le développement de sa pensée posale (et du marketing relationnel sous-jacent) invitent à prendre en compte, au détour de plusieurs aperçus synthétiques figurant sur le blog dht-fragments blog : D. H. T. Fragments D'Essais (Nice) (vip-blog.com).

Cette présentation intervient à une époque de dramatisation historique, provoquée par les politiques désastreuses que l'auteur a toujours dénoncées au nom de la liberté individuelle, soit la possibilité effective pour les individus de vivre en accord avec leurs choix. La période en question, celle du début des années 2020, coïncide avec cette mystification médiatique mondiale qui a pris la forme de la soi-disant pandémie liée au Coronavirus. Autorisons ici un parallèle avec la difficulté, pour un individu conscient des illusions provoquées en pareille période, de se convertir à une religion, comme par exemple le catholicisme. Mettra-t-on cette difficulté sur le compte de l'individualisme ? On va voir, par la réponse à cette question, la pertinence du parallèle évoqué à l'instant. Imaginons que certains, dans une perception apocalyptique de mesures allant de confinements en ruines de l'économie, et de suicides en obligations vaccinales, envisagent une vocation monastique pour trouver un refuge. S'ils ont les pieds sur terre et la tête sur les épaules, conformés à ce que la nature a fait de nous en faisant bien les choses, ils vont émettre, comme nous le ferions aussi, des réserves à l'égard d'une conversion préalable à la vie en communauté religieuse, réserves concernant la position de l'Église dite libérale par rapport aux questions politiques. Premier point : nous sommes parfaitement hétérosexuels, ce dont nos compagnes respectives peuvent témoigner, donc en désaccord avec l'Église au regard de l'agenda dit de tolérance. En effet, étant donné nos positions politiques conservatrices sur le dossier des mœurs, correspondant à une orientation nous inclinant à valoriser l'union naturelle entre l'homme et la femme, il semble plus judicieux d'attendre un éventuel revirement conservateur de l'Église avant d'engager plus loin un parcours de foi au regard du Christ (d'autant plus que quitter sa femme pour devenir moine, c'est triste). Sachant que nous saluons le courage de la Hongrie, dans ses lois de l'été 2021 à ce propos, contre l'Union Européenne, contre la république française et contre les minorités déviantes et dégénérées, sans même parler des mesures plus radicales que nous appliquerions si nous en avions le droit et le pouvoir, notre point de vue semblera d'autant plus clair. Là, d'ailleurs, ne s'arrêtent pas les divergences politiques, elles se retrouvent pratiquement sur tous les points essentiels. Deuxième point : prenons par exemple la question du passe sanitaire et de la vaccination obligatoire, entreprise criminelle menée par un régime coercitif qui, tout en valorisant les minorités déjà mentionnées, s'acharne contre les libertés individuelles de la majorité silencieuse. Bref, si l'on ajoute à cela un avis défavorable sur les affinités entre l'Église et les fraternités humanistes (autrement dit, d'un point de vue pratique : les organisations qui, sous couvert d'humanisme fraternel, ont une responsabilité majeure tant dans la promotion des déviances que dans l'état de dictature sanitaire imposé aux populations), les exemples sont assez éloquents.

Du monde de la vente et qualifié en marketing, l'auteur invite à présent à envisager le débat sous l'angle des parts de marché. En effet, les grands laboratoires n'étant pas seulement motivés par des préoccupations sanitaires, ce sont aussi des entreprises et, au vu de leur envergure, des machines de guerre économique, qui ont le pouvoir, avec l'appui des gouvernements, de créer délibérément des virus et des pandémies (avérées ou non) pour imposer ensuite leur prétendu remède. L'insistance des gouvernements à placer les vaccins va dans ce sens, avec en plus l'intérêt pour les gouvernements concernés d'exploiter le recul des libertés afin de produire une population plus manipulable et corvéable. Cette analyse correspond de fait aux stratégies qui ont rendu possible la globalisation marchande. En tant que vendeurs, nous, les honnêtes gens, n'approuvons pas cette manière de procéder, car notre vision du commerce est d'une autre école, qui vise des transactions profitables à toutes les parties, avec des entreprises qui font leur chiffre et des clients libres de choisir leurs produits et contents de leurs achats. C'est pourquoi, d'ailleurs, notre parcours professionnel s'accorde avec l'éventualité d'une vocation spirituelle. Dans l'optique ainsi décrite, on comprend que les organisations confraternelles se réclamant de l'humanisme des Lumières sont en fait des entités hégémoniques ayant pour but d'exercer un contrôle officieux sur une population déjà sous contrôle officiel. Autrement dit, ils veulent instaurer ou maintenir un rapport maître/esclave chez les salariés, non seulement au travail mais aussi hors du travail. D'observation directe dans les métiers faits et les parcours de formation suivis (vente à domicile, assurances, immobilier, marketing, distribution, métiers de service, sécurité, etc.), l'auteur peut confirmer que ces gens-là (les humanistes et leurs amis déviants) sont partout ou essaient d'être partout, un autre problème pratique étant que leurs fraternités n'ont strictement aucune utilité sur le plan professionnel. Le transhumanisme à son tour n'est rien d'autre, dans la lignée de l'humanisme, qu'une aberration idéologique de plus destinée à détruire les identités pour accroître le contrôle exercé par les instances dirigeantes formées aux rapports de pouvoir. Il en ressort que l'individualisme posal créé et défendu par l'auteur, outre une économie malthusienne radicale et une vision du collectif en lien avec la théorie des jeux (d'une part) et les affinités interindividuelles spontanées (d'autre part), auxquelles s'ajoute une dimension de reconnaissance antiraciste et philosémite des identités ethniques, partage certains axes objectifs avec la critique réactionnaire du monde moderne, ce qui est parfaitement logique. L'individualisme atomiste, en tant que projet de civilisation, est lié au respect profond de l'identité donnée par l'ordre naturel.

D. H. T.

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